La fantasy désigne cette littérature populaire aux multiples facettes, dont les volumes fleurissent sur les rayonnages des librairies, dans le coin réservé aux littératures de l’Imaginaire.
Il est vrai que ce courant littéraire révèle une richesse de genres perpétuellement renouvelés. Néanmoins, rappelons que la base de tout récit de fantasy relate généralement les aventures d’un héros ou d’une héroïne dans un univers imaginaire idéalisé, différent du nôtre, et où règne la magie. Même si cette littérature s’impose de plus en plus au sein du paysage littéraire international actuel, elle n’en demeure pas moins très ancienne. En effet, en faisant intervenir des univers merveilleux, souvent d’influence mythologique, antique ou médiévale, dans lesquels évoluent des créatures des mythes et des légendes, telles les Elfes, les Nains, les Dragons, les Licornes…, la fantasy affirme d’ores et déjà son lien étroit avec ces littératures du passé. Elle prend d’ailleurs sa source dans le roman d’aventure de l’époque.
Pour l’Antiquité ce sera par exemple l’Odyssée homérique où Ulysse connaît une longue pérégrination en Méditerranée, au cours de laquelle il côtoie un monde étrange, peuplé de créatures et d’êtres aux pouvoirs surnaturels.
Pour le Moyen-âge, ce sera plutôt les légendes arthuriennes dans lesquelles Arthur et ses « fameux »
chevaliers de la Table Ronde évoluent dans un monde peuplé de magiciens, de fées, de monstres, de créatures fabuleuses comme des personnes ou des êtres métamorphosés, dont Merlin fait partie.
Quant à l’époque Moderne, la fantasy puise allègrement dans les contes de fées en s’organisant autour d’un même fil conducteur, à savoir celui du roman initiatique dans lequel le héros doit accomplir des épreuves et acquérir ainsi un nouveau statut. Parmi les plus fameux, ce sont bien évidemment ceux de Charles Perrault comme Cendrillon ou La Belle au bois dormant.
Pour l’Antiquité ce sera par exemple l’Odyssée homérique où Ulysse connaît une longue pérégrination en Méditerranée, au cours de laquelle il côtoie un monde étrange, peuplé de créatures et d’êtres aux pouvoirs surnaturels.
Pour le Moyen-âge, ce sera plutôt les légendes arthuriennes dans lesquelles Arthur et ses « fameux »
chevaliers de la Table Ronde évoluent dans un monde peuplé de magiciens, de fées, de monstres, de créatures fabuleuses comme des personnes ou des êtres métamorphosés, dont Merlin fait partie.
Quant à l’époque Moderne, la fantasy puise allègrement dans les contes de fées en s’organisant autour d’un même fil conducteur, à savoir celui du roman initiatique dans lequel le héros doit accomplir des épreuves et acquérir ainsi un nouveau statut. Parmi les plus fameux, ce sont bien évidemment ceux de Charles Perrault comme Cendrillon ou La Belle au bois dormant.
Le merveilleux est, par conséquent, une notion qui existe depuis des siècles en se manifestant sous les formes les plus variées, telle l’existence de créatures magiques, de pouvoirs surnaturels ou encore de lieux imaginaires. En fait, la théorie attestée est qu’il y a du merveilleux dans un récit, lorsqu’un personnage ou un objet y détient un pouvoir extraordinaire. Or dans la fantasy, il devient évident que le merveilleux se manifeste en reprenant certains motifs empruntés aux mythes, aux légendes et autres croyances des civilisations, s’étalant sur une vaste période de l’Antiquité au XVIIIe siècle. Ce sont d’ailleurs ses multiples origines littéraires qui permettent à la fantasy d’être considérée comme une littérature à part entière.
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